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 will never know | gus

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Alba Rizzo
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Alba Rizzo
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MessageSujet: will never know | gus   will never know | gus EmptyJeu 1 Fév - 19:30


will never know
@gus brekker & @alba rizzo


Ça ne roule décidément pas dans le centre de la ville. Ça sent encore l’évènement ridicule dont Stars Hollow a le secret. Alba n’a rien contre les « célébrations » de la ville, ça l’amuse parfois même, mais clairement la plupart du temps elle les fuit. Pour voir toujours les mêmes tronches de cake lui faire des sourires forcés, non merci. La Rizzo préfère encore se terrer dans son appartement à mâter des séries avec Al sur le canapé. Elle a presque songé que prendre sa moto dans le centre pour récupérer sa commande chez Dewey puis chez Dany’s, ne lui ferait pas perdre de temps. Quelle connerie ! Son moteur gueule mais ça ne fait pas avancer les tacos devant elle. La blonde n’en peut plus, elle cède, elle s’en tape des jurons qui peuvent être proliférés, sa moto gronde et dépasse une, puis une seconde et enfin la file de voiture en zigzag. Sa bécane file dans la ville, tourne à une intersection et elle vient se garer devant une jolie petite maison. Alba éteint le moteur de son carrosse moderne et descend. Elle retire son casque, secoue sa chevelure d’or, y passe une main pour la remettre en place. Elle échange dans son mini coffre le casque contre la boîte à pâtisseries, et attrape les boites à pizza avant de se diriger vers la maison. Elle sonne en manquant de lâcher quelque chose. Alors que la porte s’ouvre elle tend la boîte en carton rose, et la refourgue à Gus. – Salut. Ca c’est le dessert, pas touche avant l’heure. Elle entre comme chez elle et trouve la tête blonde presque dissimulée derrière son père. Elle s’accroupit et tend son poing au gamin en attente d’un check. – Salut mon pote, ça va ? Elle n’attend pas vraiment de réponse Alba, les joues et la frimousse qui se cache dans le jean de son père lui suffit à se redresser avec un sourire vers Gus. – Tiens ! Je me suis dit que vous aurez faim. Elle lui refile les boîtes à pizza avant de reprendre celle du dessus. – Ca c’est pour moi ! Et comment, triple supplément de mozzarella, plus une mozza à la pizza que l’inverse avec autant de fromage italien. Elle attrape une part de pizza et commence à manger comme si de rien n’était. – Où est ta bête ? Oui car c’est pour ça qu’elle est là, Alba. Pas pour taper la causette ou faire ce qu’elle sait que Joan peut penser d’elle en compagnie de Gus. Non, Alba est là que pour la moto de Gus et rien d’autre.
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Gus Brekker
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MessageSujet: Re: will never know | gus   will never know | gus EmptyVen 2 Fév - 20:46


will never know
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La réflexion parcourt ton esprit en une subtile analyse. Il ne suffit toujours que d'un furtif coup d'oeil pour cerner l'essentiel recherché afin de lui donner tout son potentiel. L'idée n'était qu'une bribe que tu es déjà à l'ouvrage. Le coup de crayon est finement assuré et suffisamment maitrisé pour donner corps à une illustration où la matière ne sera uniquement générée que par les traits d'expressions. Ce n'était pas la première fois que tu bossais en binôme avec un auteur, la plupart d'entre eux – du mois ceux avec qui tu avais déjà travaillé – appréciaient tes œuvres, ton savoir faire. Cependant, cette fois l'auteur désirait pouvoir mettre un visage sur son personnage principal avant de se lancer pleinement dans l'écriture de son manuscrit. Ce dernier encore à l'état de chenille suivrait dans les semaines à venir le processus rapide de papillon. Tu aimais ta profession et l'entendue du domaine que cela propose. Sous pression – ou pas – tu ne le percevais jamais de cette manière car tout n'est que la sensation de pouvoir concevoir, imaginer. A mesure de réfléchir, les planches – qui ne sont encore que des esquisses – prennent forment et se définissent. Dans la pièce qui te sert de bureau, le silence règne entre le bruit au dehors et le calme apaisant de la salle. Cosy et agréable, l'ambiance dégage un refrain qui se décline à l'ensemble de la surface du grand appartement que vous louez à trois. Le loft est plongé dans le silence, offrant à l'univers masculin de pouvoir exister. C'est donc sur cette touche de bonnes idées que tu enrôles ton fils pour te filer un coup de pouce pour vérifier la fidèle compagne des routes : ta moto de course. Un engin que tu avais pu t'offrir après plusieurs années d'économies et de petits boulots durant les vacances. Tu en prenais soin avec beaucoup de prudence, un investissement financier certes mais surtout un plaisir de commun de flirter avec la vitesse du bitume, la sensation de liberté. L'avantage du logement c'était qu'il disposait d'un grand garage, autant dire que cela avait ravit tout le monde – y compris ta sœur qui y rangeait son matériel en tout genre. La sonnette qui retentit comme la cloche d'une église à minuit. Attendais-tu donc la venue de l'enfant béni, Gus ? Tu échanges un bref regard avec ton fils avant de rentrer pour découvrir que la cousine Rizzo fait son entrée avec une attitude parfaitement naturelle. Bien évidement, elle ne manque pas de donner quelques boites à son passage : entre odeur de chocolat et saveurs aux poivrons fromage, l'intention est là. Son sourire sincère témoigne de son attention et encore moins du fait que Paul à son geste. Le môme lui sourit – toujours sur la réserve en hochant la tête avant de filer en direction de l'étage. Tu la vois par la même occasion, prendre une des boites en carton de dessous précisant qu'il s'agit de sa pizza avec le double supplément de mozza. –  Comme toujours, l'entrée est soignée et signée. Alba a toujours eu le don de manifester l'once de sa présence, c'est ainsi cela l'a toujours été. A l'aise dans ses baskets comme pourrait l'être Blaise, elle déguste sa part de pizza tout en t'interrogation sur la bête. Un jargon souvent repris dans sa bouche, plus de surprise venant de petite blonde.  – Tu sais, je crois que j'ai compris comprend manger à moindre coût. S'il suffit que tu amènes le repas à chaque fois que tu veux la voir, l'économie du samedi midi est assurée.  Evidement, tout n'est que pure ironie surtout que les points communs entre vous deux ne manquent pas mais les deux roues y figuraient également. Tu en profites pour appeler le petit bonhomme afin qu'il vienne à la cuisine tandis que disposez une assiette pour lui.  – Tu aurais finie par la voir la semaine prochaine de toute façon, je devais passer Al.  Alba passait à l'improviste, selon les bonnes ondes du vent. La tornade avait débarquée de manière inattendue et ce te surprenait quelque peu alors que vous aviez prévu de vous voir entre amis avec Joan, Al et quelques autres.
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Alba Rizzo
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MessageSujet: Re: will never know | gus   will never know | gus EmptySam 3 Fév - 12:55

Un courant d’air, une bourrasque de cheveux blonds qui se faufile chez qui bon lui semble. Alba est ainsi, elle s’invite ou presque toujours chez les gens comme ça. Surtout quand ils ont le malheur de lui dire de passer quand elle veut, grave erreur. Elle reste une italienne, même si ce n’est qu’à moitié, et la proximité, les invitations elle prend ça au sérieux, toujours. Il est vrai aussi que la curiosité, et un je-ne-sais-quoi, l’a poussé à venir faire un tour. – Pourquoi je devrais faire comme tout le monde ? C’est une règle régissant le monde d’être comme les autres ? Son regard brille un instant d’un éclair de malice et de défi à la fois. Elle semble mettre Gus au défi d’aller contre sa nature pure, brute. Ses roules doucement tandis que ses épaules se lèvent légèrement. – Et puis les accolades ou embrassades pourraient induire tes voisins, qui pourraient jacasser… Sa phrase reste en suspens tous deux connaissent la suite, alors Alba ne s’attarde pas sur le sujet, le changeant même. Incapable de restée en place, elle passe du père au fils, au père de nouveau dans une aisance déconcertante. Alors qu'elle toise Gus d’un regard énigmatique, elle agit tout naturellement en prenant une part de pizza. Elle écoute Gus d’une oreille tandis qu’elle fait des mimiques comiques au petit qui descend les escaliers en trombe. Elle les suit dans la cuisine avant de s’installer, comme à son aise sur un plan de travail, la boîte de pizza sur ses genoux. – Faudra m’inviter plus souvent alors si tu veux que je te paye la bouffe. Ah et aussi me payer la boisson, t’as de quoi boire ou on se dessèche ? Elle envoie un clin d’œil à Paul, avec un immense sourire. La gamine s’amuse comme une folle et quand c’est le cas, généralement sa langue claque moins fort, parfois les gens disent que c’est agréable, même si ça n’arrive pas souvent. Aux paroles suivantes de Gus, Alba arque un sourcil, mord dans sa pizza silencieusement. – Et qui te dis que j’aurais été là ? T’es devin ? Une longue pause pour avaler un énième bout de pizza, et voilà Alba s’adressant à Paul en dissimulant ses lèvres à Gus d’une main grossière. – Ton papa s’est pris pour un devin… totalement dingo. Son murmure plus que raté, extirpe un sourire au gamin, qui semble apprécier les singeries de la grande gamine. – Et puis même si j’avais terriblement envie de la voir, le fait que tu me parles de ses bruits étouffés m’ont aussi fait venir. Je sais que tu dois passer chez mon oncle, mais ça te coûtera un bras. Et hors de question de faire marcher la réduction famille/ami, ma cousine trouvera ça louche, alors j’vais y jeter un œil pour toi. Enfin si t’es okay, à moins que tu veuilles mettre l’adorable vie de ton fils en danger ou dépenser fortune que tu n’as pas. Dramatiser la situation pour mieux avoir ce qu’elle veut, Alba est une vraie vipère qui lâche rarement l’affaire quand elle a un truc à se mettre sous la dent. Elle saute sur ses pieds, dépose sa pizza sur le comptoir et commence à arpenter l’appartement prise d’une fièvre curieuse maladive. – Et puis vaut mieux faire ça quand Joan n’est pas dans les parages. Je n’aurais jamais pu me concentrer avec elle qui glousse derrière mon dos… Au fait joli appart… Elle lance les informations et compliments à la volée, à qui veut bien les attraper. Certains parlent de dysfonctionnement de l’attention, d’autres encore parlent de manque de filtre de ses pensées, pourtant Alba est comme ça. Elle pense, et elle dit. Rien de plus compliqué, rien n’est perdu, et rien est inutile en soi.
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Gus Brekker
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MessageSujet: Re: will never know | gus   will never know | gus EmptyDim 4 Fév - 21:49

Intriguant est celui qui main dans les poches ne se préoccupe que de l'essentiel. Une phrase qu'un des patients de ta figure maternelle ne cessait de te répéter en te voyant. A l'époque, elle t'emmenait avec elle à la maison de retraite où elle cumulait quelques heures bénévolement le week end. Le vieil érudit, ancien et grand écrivain, aimait te conter des histoires farfelues qu'il avait couché – lui même sur papier certes – mais qui avait aussi égayer son enfance. Il t'observait à chaque fois tout sourire avant de réitérer ses mêmes mots. Il n'avait pas tort, il visait tout simplement juste. Tu avais pour habitude de ne jamais t'intéresser aux soucis d'autrui. La tendance à trouver tout – ou presque – ennuyeux te lassait très rapidement. Tu n'aimais guère que l'on s'occupe de tes affaires alors pourquoi se mêler de celles des autres. Une facette de ta personnalité qui s'éclipser en présence de ceux que tu estimais. Alors voir l'italienne débarquer à l'improviste n'avait rien de surprenant pourtant aujourd'hui cela l'était un peu. – Ne change surtout pas donzelle où je saurai que j'ai bifurqué dans un autre monde ! Inutile de se voiler la face, la Rizzo était unique en son genre et c'est ainsi que l'on aimait la blondinette. Paul descend les escaliers au même instant, sa tignasse de boucles blondes ne passant guère inaperçu. S'il tenait de sa mère la couleur de ses cheveux, le caractère et les yeux ne faisaient que prendre de la graine de celui que tu avais été à son âge, même ce brin de maturité ne faisait pas exception. –  Qu'ils se prêtent à la confusion, ils ne seraient pas les seuls. Ton affirmation joue la finesse et l'ironie car ta meilleure amie était la toute première a se lancer dans tes déductions. Depuis plusieurs mois – pour ne pas se rythmer en année – Joan ne cessait de jouer les entremetteuses entre toi et Alba. Autant dire qu'elle ne manquait pas de courage face à vos attitudes que cela soit une blague ou devant un fait accompli, la brune ne baissait aucunement les bras. Tu serres une part de pizza au gamin avant d'en faire de même, t'appuyant légèrement contre l'ilot central de la cuisine juste derrière le petit. De dernier échange quelques œillades mutines avec votre invité, encore un étonnement concernant le  petit bonhomme qui ne se liait que très peu avec les autres. Alba entrait encore dans le cadre de l'exception qui confirma la règle. Face à la réplique de la jeune femme, le rire de Paul s'élève en un son cristallin agréable à entendre mais auquel se mêle aussi le tien. Tu prends alors tout ton temps pour déguster ta première bouchée de pizza, histoire de bien faire mine de négliger les paroles de ton amie. Le gosse rigole à nouveau avant d'échanger un regard de connivence avec toi.  – Franchement le deviner n'est pas une surprise en soi mais une certitude ma grande. Après tout dès qu'il y a une file de biker qui traverse la ville tu es la première à te joindre à la mêlée. Alors oui tu serais sans le moindre doute venue, peut être pas forcément pour notre charmante compagnie mais juste pour voir le bout de nez aquilin s'alimenter de curiosité. Lui dis-tu tout en ouvrant le réfrigérateur où tu attrapes deux bouteilles de thé froid maison – spéciale recette maman Brekker – avant d'en lancer une à la belle installé sur le plan de travail de la cuisine.   Etonné de la voir énoncé l'état de ta fidèle bécane ? Pas le moins du monde, Al en avait sans doute parler et  Joan n'était pas en reste. Un peu plus tôt en début de semaine dernière tu avais été victime d'un léger accident de la route. Si tu en étais sortie avec peu de séquelles, ton deux roues en avait prit tous les stigmates – si on pouvait parler ainsi. Le constat de l'assurance était sans appel : les réparations seraient nombreuses alors le garagiste conseillait d'en changer. Hors, il s'agissait de ta première moto et on y touche pas. Tu avais effectué  les premières réparations mais le boulot était loin d'être terminé.  –  Propagande pour mieux fidéliser le client, rien ne t'arrête pas vrai ? A dire vrai pas besoin de faire fonctionner le code de réduction famille/ami car rien que la fidélité clientèle de ton paternel suffisait, depuis le temps qu'il venait chez les Rizzo. Tu secoues la tête, un rictus jouant sur tes lèvres chipant sans la moindre gêne une part de pizza appartement à Alba.  – Si tu veux jeter un coup d'oeil, la concernée est dans la cour dehors. Tu désignes la porte arrière de la pièce menant à la cour intérieure des appartements collectifs de la résidence. - Papa je peux aller retourné dessiner ? Une question à laquelle tu réponds par la positive. Paul se lave les mains et file dans ton bureau. La jeune femme est déjà à l'aventure des chemins du logement le tout sous éloge complimenté pour la décoration du loft. Ce dernier avait été agencé à l'image des chalets canadiens, un esprit cosy et simple où il faisait bon vivre tout en modernité et tradition. Tu la suis de quelques pas, t'appuyant contre la chambranle de la porte du salon. – Pour la décoration Chiles et ma sœur seraient ravis de te l'entendre dire. Ces dernières étaient souvent de mèches pour obtenir ton approbation.  –  Ah tiens donc tu donnerais crédit à ce qu'elle n'arrête pas de dire sur nous ? Quoi que je t'accorde que quelques fois elle dépasse les bornes. Le dimanche midi en huit, elle avait laissé glissé à ta mère que vous étiez déjà en couple. Autant dire que ta mère s'était faite une fausse joie une fois la vérité tombée. Rien ne semblai arrêter Joan.
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