j'ordonne l'abscisse mais cela reste abscons

**butterflies** : 22 **since here** : 28/01/2018

patch johnson
I was unfaithful even to infidelity.
©️️tumblr.

surnom(s) - Patch, c'est comme ça qu'il est connu, surnom devenu nom. À défaut d'un Patrick qui ne lui a jamais collé à la peau. Certains l'appellent par son patronyme. C'est à peu près l'étendu de ses appellations. signe astrologique - c'est un scorpion né. date & lieu de naissance - un vingt-quatre octobre, année 1985, à Washington. origines & nationalité - s'il a des origines d'Europe de l'est du côté de son père, on n'en parle pas chez les Johnson. L’Amérique, terre promise, voilà ce qui importe. job - il aurait pu être astronaute, pianiste, écrivain, biologiste, médecin, peut-être même agent secret. Ouais, il aurait pu être n'importe quoi Patch, s'il l'avait voulu. Seulement il ne veut jamais vraiment longtemps. Ses études de droit par exemple n'ont pas fait de lui un avocat. Mais disons qu'il aurait pu être plus malchanceux : il s'est trouvé une vocation. Sort of. Il est agent immobilier, co-proprio d'une petite agence en centre ville. Vendre, ça il sait faire. statut civil - fiancé. Parfois, il se dit que c'est la meilleure décision qu'il ait pris de toute sa vie parce qu'une fille comme Bloom, ça ne court pas les rues. D'autres fois, il jure que c'est la plus grosse connerie qu'il ait faite, parce qu'une fille comme Bloom, ça devrait pas se tromper. Et pourtant... caractéristiques physiques - il est grand l’apollon, sculpté, viril. Imparfait, les tissus sur sa peau cachent les marques laissées par le temps. Quelques tatouages de jeunesse, des cicatrices mal rafistolées, des ecchymoses pas totalement guéries. Dans les beaux quartiers, les gosses savent où frapper pour vous laisser des marques solitaires. Heureusement pour lui, il a toujours sa belle gueule. Des yeux océans, un sourire charmeur, une tignasse qui n'a nul besoin de travail pour être domptée, il fait fureur auprès de la gente féminine. Et il le sait. Pourtant, il déteste qu'on s'attarde sur ses blessures. Son corps est un paradoxe ; il attire autant qu'il repousse. traits de caractère - Patch est impatient. Impétueux. Sûr de lui mais intimement convaincu qu'il n'est pas à la hauteur. C'est un homme bourré de failles qui n'a l'intention de vous laisser en toucher aucune. Il est passionné, charmeur, baratineur même sur les bords. Intelligent et curieux, il est aussi lunatique. Il déforme souvent la vérité à son avantage, n'est pas toujours le plus honnête ; la preuve, il est infidèle. Du moins, il s'est attaché à une autre. Parce qu'il n'a pas un mauvais fond, Patch. C'est juste un sensible connard. Un trésor qui s'ignore. outfits favoris - il aime la confiance que lui apporte une chemise bien taillée sur ses épaules, l'importance qui se dégage de lui dans un blaser. Et pourtant, il n'est jamais mieux que dans un jean, un tshirt et une veste en cuire. C'est con. Il est bipolaire des fringues. objet fétiche - une vieille montre à gousset qui saute bien trop souvent. Elle lui vient de son grans-père. péchés mignons - Laya. Laya salée, Laya sucrée, Laya avec un verre de whisky, Laya dans son lit. film/tv show préféré - il a une admiration démesurée pour Clint Eastwood. Autant dire que Mystic River n'a plus aucun secret pour lui. saison préférée - les couleurs de l'automne, ses odeurs, les changements qui s'y opèrent, voilà ce qu'il aime. à Stars Hollow depuis - environ six mois.

seasons may change, but some things never will.

[endroit favori] y a une petite clairière, un peu excentrée de la ville, à la sortie de la forêt. Il est tombé dessus par hasard en faisant son jogging. Il y règne un calme démesuré. Et ça lui plait, allez savoir pourquoi. [souhait pour le futur] que tout fonctionne. Son entreprise, son couple. Ses couples. Qu'il trouve une solution, qu'il prenne une décision, que la décision se prenne d'elle-même. Trouver enfin sa place, peut-être ? [qu'est ce qui vous retient à stars hollow] Johnson & Johnson. Y a son nom sur un putain de bâtiment, vous comprenez ? C'est pas encore la consécration qu'il espère, mais il y vient. Et puis, y a Bloom. C'est grâce à elle, pour elle, qu'il est là. Et Laya ? Elle a beau être la possible cause de sa perte, rien que l'idée de s'éloigner de sa peau lui donne la nausée. [la personne la plus importante pour vous] Bloom. C'est le cas, et en même temps ça l'est pas. Il le sait, la réponse devrait être logique, limpide, et dans un sens elle l'est. Bien sûr qu'elle lui vient en tête. Et puis, apparaissent toutes les autres personnes importantes de sa vie. Du coup, il sait plus.

and there was the sea between us again

Il inspire, il expulse ; ses envies, ses fêlures. Patrick est un enfant à l’emport facile. Jamais satisfait de l’entre deux de sa vie. Ses parents sont ensemble mais ils ne semblent pas heureux comme les amoureux dans les films, leur amour lui semble trop chaste, trop fugace. Leur situation est trop plate, ils sont dans l’entre-deux de la mort ; pas assez pour briller, trop pour ouvrir sa gueule. Mais il l’ouvre quand même parce qu’il a besoin d’exister, le gamin, il a besoin de se sentir vivant. Alors il cherche à donner des coups et en reçoit, souvent trop, parce qu’il n’a pas de soutien. Que peu d’amis. Il est pas fait pour ça, Patrick, il est pas fait pour être entouré de beaucoup. Dans les foules, il étouffe. Fondu dans la masse, il rêve d’être unique. De briller. Il sait simplement pas comment. Alors il commence la musique, mais ça ne va pas assez vite, il faut être patient, attendre, s’entrainer. La chose innée chez lui, c’est la course ; à force de s’être fait courser. Et la boxe à laquelle son père l’a inscrit, soucieux de voir son gamin se prendre des prunes. C’est comme ça qu’il se développe et devient Patch – trop d’adessif sur son corps, plus assez de place.

En grandissant ses rêves se muent en des espoirs déraisonnables. Parce qu’il a pas changé, qu’il est toujours aussi impatient, et que pour devenir quelqu’un gamin faut prendre le temps. Temps qu’il bousille à fumer des clopes sur les trottoirs de sa cité dortoir. Sans savoir ce qu’il veut faire plus tard, Patch cherche une échappatoire ; c’est dans le droit qu’il se lance avec ses rêves en étendard. Mais c’est dur, vous comprenez, c’est dur de briller quand on est pas le meilleur, et des mecs comme lui, y en avait des dizaines de plus balaises à ce jeu là. Il s’est acharné pourtant parce qu’il est fier, quand même, qu’il pouvait pas rentrer la queue entre les jambes chez son père en lui disant qu’il avait pas réussi à faire mieux que lui. Seulement après le diplôme, il s’est inventé une excuse pour ne pas préparer le barreau. A abandonné, tout simplement. Remise en question totale. Retour aux sources. Introspection. C’est vide à l’intérieur.

À cette époque, il avait une fille différente dans son lit chaque soir. Pas parce que ça lui plaisait mais parce qu’il cherchait des réponses. Aucune d’elle ne l’avait, mais il cherchait toute la nuit ; juste au cas où. L’une d’elle, avec ses tatouages des quatre coins du monde, a mis le doigt sur quelque chose. Partir, meilleur remède de l’univers. Sortir de sa zone de confort. Sur un coup de tête, il s’est mis à planifier les premières semaines d’un grand voyage. Il aurait dû commencer en Amérique du Sud, avant de l’emmener aux quatre coins du monde. Il aurait fait n’importe quoi, n’importe quel job s’il le fallait, mais cette soudaine envie de partir lui donnait un but, un truc à quoi se raccrocher. Il en avait besoin, Patch. Puis il l’a rencontré, et son rêve s’est envolé. Non, pas envolé… il a migré. Découvrir le monde lui paraissait maintenant moins intéressant que de découvrir le grain de peau de Bloom Speck. Pourquoi elle et pas une autre ? Allez savoir. Ces choses là ne s’expliquent pas. Dés qu’il l’a vue, il l’a voulu. Encore. Et encore. C’est peut-être son regard qui changeait la donne ? La petite jeunette lui donnait l’impression d’être un dieu vivant. Patch en redemandait, de cette drogue qu’elle était, de cet état dans lequel elle le poussait. Accro, il était amoureux. Et, pendant un temps, il s’est dit que ça allait lui suffire. Ça aurait du lui suffire. Mais qu’est-ce qu’on retient de son histoire ? Jamais content. Impatient. Toujours plus. C’est pas un salaud, j’vous dis. Il est juste pas maître de sa propre vie.

Quand Laya est entré dans sa vie, il avait pourtant l’impression d’avoir réglé tout ses problèmes. Elle a tout foutu par terre. Compromet son existence même. Défaillance cardiaque oblige. Mais il y peut rien Patch ; il arrive pas à se la sortir de la tête. Il rêve de ses courbes, du bruissement de ses hanches quand elles ondulent, de ses souffles courts, souffles sur sa peau, peau contre la sienne, chaleur de son corps contre son âme. Elle l’obsède autant qu’elle lui fait peur Laya, parce que s’il succombe vraiment, s’il envoie tout valser, alors il risque de tout perdre. Sa réputation, son business, Bloom… Bloom qu’il n’arrive pas à quitter. Il n’y arrive pas parce qu’il l’aime. Parce qu’elle fait sens dans sa putain d’existence. Parce qu’elle le connaît, qu’elle l’accepte avec ses envies, ses délires et ses névroses. C’est bien pour ça qu’il lui a demandé de l’épouser bordel, alors pourquoi ça suffit pas ? Il aimerait qu’elles ne soient plus qu’une, il aimerait qu’elles le quittent, qu’elles l’aiment, toutes les deux, il aimerait être moins con, il aimerait ne faire souffrir personne mais c’est plus fort que lui. Patch n’arrive pas à tirer un trait. Ni sur l’une, ni sur l’autre. Elles l’embrasent différemment. Alors il continue. Et continuera. Quitte à rajouter quelques brulures sur son corps mutilé.

pseudo, prénom saturday. âge, pays vingt-cinq ans, France. comment as-tu connu le forum? bazzart. avis sur le forum soublîme. avatar chris evans. votre coup de coeur du moment ça. lui.. dédicace & autre Laya, pour son pré-lien de dingue j'ordonne l'abscisse mais cela reste abscons 2012052536